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Radiofréquence vélaire et vélo-turbinale pour rhonchopathie à propos de 256 cas SCHMITT E. (1), PETELLE B. (1), MEYER B. (2) Résumé La radiofréquence du voile, par la conservation de l’intégrité du voile, offre une nouvelle approche peu algique dans le traitement du ronflement. Nous avons voulu évaluer non seulement l’intérêt clinique de la radiofréquence vélaire unique, mais aussi lorsque celle-ci est combinée à la radiofréquence turbinale. Lorsque l’obstruction est bipolaire. Matériel et méthode : 256 patients ronfleurs chroniques simples répartis en 2 groupes : Groupe 1 : Surgitron(r) 4 mHz N= (220) , RADIOFREQUENCE VELAIRE Groupe 2 : Surgitron(r) 4 mHz (N= 36) , RADIOFREQUENCE VELO-TURBINALE Les résultats clinique sur le ronflement, la douleur ont été évalués au moyen de l’échelle visuelle analogique avant et après traitement. Les différentes caractéristiques du voile en longueur et épaisseur ont été évaluées cliniquement. Résultats : la radiofréquence vélaire en technique intra-musculaire permet de traiter le ronflement en 1,8 séances en moyenne pour les générateurs Surgitron?. Aucune différence en terme de séance est statistiquement significative entre les deux groupes (2 séances moyennes p0.05). L’association de radiofréquence vélo-turbinale entra?ne une amélioration du ronflement après 2,1 séances en moyenne sur le voile et 1, 3 séances en moyenne pour les cornets. Conclusions : la radiofréquence permet un contr?le du ronflement dans 85% des cas. L’association de radiofréquence turbinale permet dans le même temps opératoire de traiter l’obstruction nasale. Introduction Les différentes procédures de réduction vélaire, qu’elles soient chirurgicales pures ou réalisées par laser, s’accompagnent de douleurs post-opératoires importantes occultant, après l’enthousiasme initial, l’approche chirurgicale de la rhonchopathie chronique. Face à une demande de prise en charge croissante, la radiofréquence vélaire appara?t actuellement comme l’alternative aux procédures pr